02/10/2014
Faut-il avoir peur de l'avenir?
Mon futur s'éteindra
Quand mon présent sera là.
Mon passé durera
Aussi longtemps que je serais.
Mes souvenirs m'encombrent
Mon avenir me ronge.
E.D. 02/10/14
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07/06/2014
Le temps
Quand je dis que j'ai hâte d'être demain, ou hâte d'être dans deux semaines, Voici ce que mon père me dit: "Il ne faut pas hâter, mais profiter du moment présent."
Alors voilà, Comme on a pas le temps, on passe vite vite vite et puis au final, on se rend compte que c'est passé trop rapidement et on regrette, on voudrait revenir en arrière, au moins ralentir le temps si on ne peu l'arrêter. Mais on a beau respirer plus lentement, faire des gestes d'une extrême lenteur, ça n'y fait rien. Le temps s'accélère toujours de plus en plus, on perd le fil; les heures deviennent minutes puis les jours deviennent secondes, jusqu'à ce que les secondes ne soient même plus percevables.
C'est alors que tout s'écroule, le passé se résume à un claquement de doigts et le présent fait alors partie du passé. Et le fait d'y penser, on se sent faible, seul. On meurt. Voici une vie entière dans laquelle seule la hâte n'a compté.
Eva, 2014
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My friend the death
Burry the joy
Burry the fear
Here I go, on my own
I’m living in the dark
And now my fear has grown
I see the light and turn my back
But who is it, who frightens me ?
Who burries me, unearthes me ?
Still staring at the grave
Looking for every mistake
Feeling sorry for what I gave
Running away for my own sake
Should I cry one more time ?
Will it break all the pain ?
And atone for my crime ?
I will give all my fears to the past
I will break the chains of sadness
For life is too fast
To stay in distress
I will give all my joy to future
I will burry the past with all my fears
For pride isn’t the cure
To my folly and tears…
Eva Dor, 6 juin 2014
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09/11/2013
My laws
► You should think before taking it seriously...
► There's a way to get back in the present, but not if you're in the past.
► It seems logic to me that no one can control someone else's life, even if it's himself's life.
► Present doesn't seem to exist, because while I'm saying that,it's already gone...
► No one cares because you don't care; if you would care, maybe people would care too.
► "the story of my life." It's ridiculous, you're thirteen!
► Not that I don't like you, I just find you "hatable".
► My boyfriend used to say: Naah just kidding, I don't have a boyfriend.
► I can write a whole page just filled with stupid things, and I'm not even done...:)
20:07 Publié dans citations, poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)
17/03/2013
un nouveau poème
Et Toi?
Je t'attendais derrière le bois,
Un sourire sur la bouche,
l'oeil vif qu'on a parfois.
J'avais le coeur serré
Mais mes mains m'ont tenue,
Et comme je ne te voyais pas arriver,
Plus rien n'est apparut.
Ni le battement sourd de mon coeur
Ni le son des oiseaux.
Alors j'ai compris, à contre coeur
Que tu n'étais pas mon âme-soeur
Et que tout était faux.
J'ai entendu des pas
Mais ce n'étais pas toi.
J'ai aperçu la pénombre
Et c'était bien ton ombre.
J'ai cru à l'ange,
Mais c'était un démon.
J'ai vécu le soir,
Mais c'était la nuit.
Eva, 13 ans
12:12 Publié dans poèmes | Lien permanent | Commentaires (3)
03/02/2013
Pluie
Pluie
Sur la fenêtre, une goutte d'eau s'est posée.
Son mysterieux, odeur puissante, pluie ennivrante.
J'entends un bruit; est-ce mon coeur, ou est-ce la pluie?
Son mysterieux, odeur puissante, pluie ennivrante.
Les couleurs y sont mêlées, comme la plus pure des beautés;
Le vert de la pierre, le bleu de la mer, le gris de tes yeux.
Son mysterieux, odeur puissante, pluie ennivrante.
Le ciel déchaîné, l'eau, plus cinglante que jamais,
Les couleurs s'assombrissent, l'ombre fait son entrée.
Son mysterieux, odeur puissante, pluie ennivrante.
L'ondée comme un écho, entre dans ma tête, mes yeux se mettent à pleurer.
Soudain une lumière, telle la vie qui fait signe;
Puis plus rien, que ce son cristallin.
Son mysterieux, odeur puissante, pluie ennivrante..
Eva, 13 ans
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22/09/2012
Petites phrases
- La douleur fait soufrir, le malheur fait perrir, la solitude fait languir, la peine fait pleurer, mais la joie, s'amuser,Les histoires, se réjouir, et l'amour, tomber...
- L'abendon n'est pas l'oublie, mais l'oublie est l'abendon.
- Le chaud est comme le froid, quand la température monte, il est toujour moins froid.
- L'inspiration vient toujours, mais il ne faut pas l'attendre.
-Je me demande toujours "Pourquoi?", mais je ne me dis jamais "Parce que.".
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01/08/2012
Texte complexe
La complexité
C'est un mot dont je ne connais pas vraiment la définition.
Parce qu'il est un peu... "complexe", disons.
C'est dans la "complexité" des choses que l'on trouve, tous les petits détails, les petites... "poussières", dirais-je.
Oui, c'est une de mes propositions; enfin, je veux dire... "définition".
Même si ça n'en n'est pas vraiment une.
C'est très complexe ce que j'explique.
Difficile, c'est à dire... Enfin non!
Plutôt..."compliqué".
En fait je ne sais pas vraiment ce que cela veux dire.
Il faut dire que je ne l'utilise pas très souvent ce mot. La complexité.
Mais il est toujours ici;
Car c'est dans la complexité que l'on vit.
13:00 Publié dans poèmes | Tags : complexe, complexité | Lien permanent | Commentaires (1)
11/07/2012
Poésie d'hésitations
Frêle
L’incertitude du monde
Une étoile est descendue, elle m’a dit que si je désirais aller en haut,
il fallait que je fasse le souhait de ne plus jamais revenir en bas.
C’est un choix…je pars…je reste…
Dans ma tête, se bousculent les idées d’une fille voulant devenir femme,
sans forcément survivre.
On peut le faire…on ne peut pas le faire…
J’avais décidé, puis j’ai dit à l’étoile que je partais,
Pas là où les choix sont des décisions, mais là où les décisions sont des choix…
Le monde à l’envers…non…le miroir d’un monde réel où nous sommes…
mais pas le monde à l’envers…
Tout change, les personnes qui vous entourent ne sont plus les mêmes ;
c’est peut être vous qui n’êtes pas pareil…ou moi…
En haut, c’est là où il n’y a pas d’issus, pas de limites, rien…
Presque rien.
Mais tout en même temps, ça ne veut rien dire « rien ».
Le « rien » est une chose ; une chose qui peut être vous entoure…qui m’entoure…je reste là.
L’étoile m’appelle, elle prononce mes lettres comme si elle les épelait.
C’est comme si le monde n’était pas clair, il n’est pas clair, il est flou.
On y voit mais on n’a pas besoin d’yeux.
Je suis l’étoile. Non je ne la suis pas. Je la regarde partir.
Ce sont mes membres ou mon esprit qui ne veulent pas partir ? Qui ne veulent pas rester ?
Je ne sais pas…je ne sais rien…je ne sais plus…
Eva, 12ans
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10/07/2012
une poésie vraie pour tout le monde
La solitude
Triste est ton sort
Si toi comme tu es
As pour habitude
De te jeter dans ce trou,
Ce trou sombre et profond :
La solitude.
Elle est en mon esprit,
Un peu vagabonde
Et jalouse de tristesse.
Pour quelqu’un de commun,
Elle n’existe point
Et pourtant elle est là
Comme un corps perdu
Qui recherche l’amitié :
La solitude.
Elle s’accroche à vos membres
Telle les méduses dans l’océan
Et ne vous lâche plus d’un pas :
La solitude.
Eva, 12ans
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Poème pour mon Grand-père
Comprends-tu ?
Si tu t’attaches aux choses,
Mal est pour toi de t’en détacher.
Si tu coupes une rose,
Mal est pour toi de la laisser faner.
Pour toi, comme pour moi,
La joie de vivre est habitude.
Pour moi, comme pour toi,
Rien n’est plus secret que la solitude.
Le plus profond des océans,
Est la plus lourde des enclumes.
Le plus profond des sentiments,
Est la plus juste des fortunes.
Pour dire que la vérité n’est pas devant les yeux.
Ni sur les lèvres ennemies,
Mais tous au fond du feu
Qui brûle dans ton cœur étourdi.
Comme l’humain ne fait pas la patience,
Mais comme la patience fait l’humain.
Alors toi tu me fais confiance,
Mais la confiance ne te rend pas ton pain.
Le soleil ne connaît pas la pluie,
L’heureux ne connaît pas la plaie.
Pourtant toi, tu sais qui je suis,
Et moi, je sais qui tu es.
Eva, 12ans
15:55 Publié dans poèmes | Tags : poème grand-père | Lien permanent | Commentaires (1)
09/07/2012
plein de petits poèmes pour faire plaisir
Pères et mères
Pères et mères sont Les rimes
Mais aussi les colères
Unis par le cœur
Séparés par la haine
Âme sœur ou rancoeurs
Non.
Juste un mot
Un mot qui dessine le point
Sans jamais discuter.
Ce n’est pas oui, ce n’est pas vous.
Il fige la glace
Et réchauffe le soleil
C’est non.
Le vantard
Il sait qui il est
Mais ne connaît pas son cœur.
Son teint brumeux, ses yeux hauts perchés
Sa poitrine relevée, mais ses pieds,
Ses pieds déséquilibrés.
Eva, 12 ans
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poésie à un chiot
Je te donne la Lune
À Brunette
Elle est gravée dans ma mémoire
Comme une photo dans un bouquin
Ce soir, comme elle est belle, regarde-la
Je te la donne, parce que je t’aime,
Parce que jamais je ne t’oublierai…
Elle danse dans la nuit
Telle une déesse céleste et divine
Elle se balade au cœur de la vie.
Je pleure pour ne pas t’oublier,
Lorsque tu partiras.
C’est pour cela qu’à chaque moment où je verrai la Lune,
Je penserai à toi…
Regarde comme elle est belle,
Toi aussi tu es belle,
Comme la lune…
Eva, 12ans
15:09 Publié dans poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)